Max flotte à l’éther
L’Eternité sur les nuages
Evaporée
Pablo est à l’étage
Qui peint en bleu
Sur des brisures
La misère confond les visages
Maurice enfermé dans sa cage
Lacère ses toiles au couteau
Il hurle, rugit qu’il a soif
Le vin vaut mieux que de l’eau
Kiki pose sur l’escabeau
Nue et belle devant Litrillo
Trois heures durant et puis, regarde
Une maison à la campagne
Sur la toile crevée d’Utrillo
Lilas et aubépines grimpent au mat de cocagne.
Gilbert PROVAUX
Dommage pour "Litrillo", une coquille sans doute... Cela dit, beau salut de peintre à peintres, d'une époque a d'autres, et pour moi un ressenti, une présence dans l'air, de l'huile térébenthine, la sueur du travail et la beauté d'un atelier, c'est bath !